Quelques années en arrière, le crime organisé s’en prenait aux compagnies et les hackeurs étatiques c’est prenait aux gouvernements et infrastructures critiques. La grande différence entre les deux groupes de hackeurs (plus de détails ici) sont leur intention. Le crime organisé veut de l’argent, tendis que les hackeurs étatiques cherchent à espionner et à perturber en cas de conflit.
Comme nous avons pu voir avec Colonial Pipeline une infrastructure critique est une excellente cible pour les criminels. Il est donc temps de regarder à quel point la Suisse est vulnérable à des attaques… et la réponse n’est pas très optimiste…
Retrouver notre interview dans Le Temps ici.