Maintenant que la cyber-sécurité est devenue une préoccupation majeure, tous les États veulent devenir la capitale en protection digitale. Entre le Forum sur la gouvernance de l’internet à Paris et la Convention de Genève numérique, chacun essaie de se démarquer. Mais la vraie question est surtout, s’il y a un sens à faire cette convention et si elle aura réellement un impact.«Une première convention doit être simplement considérée comme une étape et les fondations pour que des prochaines puissent suivre. Il y aura probablement seulement des pays et entités idéalistes qui vont la ratifier, mais cela donnera l’exemple et mettra la pression sur les autres.» Quoi qu’il en soit, il faut agir, estime Steven Meyer, car «les cyberattaques deviennent de plus en plus violentes, à plus large échelle et avec des impacts de plus en plus dangereux. Il faut donc mettre des règles.»
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