Huawei continue son implémentation en Suisse. Les 3 opérateurs mobiles helvétiques l’utilisent et l’entreprise compte 300 employés sur le territoire.
Bien que la Suisse, contrairement à d’autres pays occidentaux, n’a pas banni le constructeur, il faut correctement se rendre compte de l’exposition à laquelle cela met le gouvernement et les citoyens.
Avec des infrastructures critiques suisses (5G) sous la gestion d’une entreprise qui a des liens étroits avec le gouvernement chinois, la confédération risque de perdre son indépendance et sa liberté. Si la Suisse décide, par exemple, d’accepter des réfugiés tibétains et ouïghours, il y a un risque réel que Huawei coupe ou diminue ses services fournis sur le territoire…
Retrouvez notre interview ci-dessous et sur le site de Le Temps