Intel, dont la majorité des puces sont affectées par deux failles de sécurité, a dû stopper le déploiement de mises à jour. Ces correctifs ralentissent les ordinateurs jusqu’à 25%
Steven Meyer, directeur de la société de sécurité ZENData, à Genève, estime que le comportement d’Intel «n’est pas professionnel. Ce n’est pas une PME: certes, le problème est complexe, mais la société dispose de moyens très importants. Intel était au courant de cette faille depuis mai-juin 2017 et aurait dû agir avant. Je ne m’explique pas pourquoi les correctifs ont été si peu testés.»
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