Les voitures connectées en savent trop sur nous, et ce n’est pas une surprise.
Mozilla l’a prouvé dans son rapport de septembre dernier. Mais que se passerait-il si ces voitures étaient fabriquées dans un pays potentiellement hostile, où le gouvernement pourrait exercer un contrôle sur ses industries ?
C’est l’inquiétude soulevée par Washington à propos des nouveaux véhicules connectés en provenance de Chine.
Les risques d’espionnage et de sabotage sont techniquement tout à fait envisageables, d’autant que Pékin a déjà exprimé de telles intentions par le passé.
Reste à savoir s’il s’agit de protectionnisme économique ou de sécurité nationale… difficile à dire…
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