Du Texas à Genève, les «ransomwares» frappent. Et surtout, les victimes payent les rançons – Interview Le Temps

C’est facile de dire de ne pas payer une rançon tant qu’on n’a pas été confronté à un incident qui peut mettre en péril son entreprise.

Bien évidemment on dit qu’il faut anticiper et se protéger correctement, mais je vous assure, TOUTES les victimes de ransomware que j’ai rencontrées avaient un informaticien qui leur a mis un antivirus et configuré un backup… car les hackeurs savent comment désactiver un antivirus et détruire de backup !

Mais il est évident qu’en payant la rançon, nous alimentons la cybercriminalité, encourageons les hackeurs à poursuivre leurs actions et leur donnons encore plus de moyens pour attaquer ; sans oublier que dans certains cas, l’argent du paiement sert à soutenir un pays totalitaire ou du terroriste.

Donc le moment venu, vous allez payer ou pas ?

Si oui, comment définir le montant maximal ?

Sinon, comment continuer en ayant perdu 12 mois de travail ?

Retrouvez mon interview dans Le Temps

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