Les gangsters utilisaient des mots clefs et de l’argot pour partager leur “exploits” sur les réseaux sociaux comme Twitter, Facebook et YouTube. Le NYPD en suivant ces réseaux sociaux a pu arrêter 63 personnes impliquées dans au moins trois meurtres et une trentaine d’échanges de tirs. Voici encore une belle illustration que tout ce qui est dit sur les réseaux sociaux peut être visible. |