Et si la Suisse espionnait différemment ? – Article Le Temps

La compagnie NSO Group qui produit le logiciel espion Pegasus a été ajouté sur une liste noire l’empêchant de commercer avec les États-Unis sans une autorisation spéciale au préalable.

Bien que la compagnie ne vende son produit qu’aux forces de l’ordre après une revue d’un comité d’éthique, les scandales des derniers mois ont montré que des journalistes, activistes, dissidents politiques, etc. ont été ciblé par l’outil-espion.

Une vraie question se pose concernant la responsabilité des entreprises privées à décider de qui est « bon » et de qui est « dangereux ». Il est évident de refuser de travailler avec un gouvernement utilisant cet outil pour empêcher une élection libre et démocratique. En revanche, les décisions deviennent plus complexes lorsqu’on essaye de décrire le terme terroriste ou une activité illégale. Par exemple, une loi en Thaïlande permet de condamner à des peines allant de 3 à 15 ans de prison toute personne accusée d’insulter le roi, la reine, le prince héritier et le régent.

Assurément, la question est la suivante : comment surveiller les smartphones des criminels et terroristes sans utiliser le meilleur outil du marché ? Et comment s’assurer que le nouvel outil choisi ne sera pas lui à son tour sur la liste noire…

Retrouvez l’article dans Le Temps ci-dessous.

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