Des cyberattaques ont à nouveau perturbé les services en ligne suisses, plusieurs banques et municipalités ayant été ciblées par des cybercriminels liés à la Russie.
Steven Meyer, Co-CEO et Co-Fondateur de ZENDATA Cybersecurity, a fait l’objet d’un article dans Le Temps sur ce sujet.
La question serait: combien faut-il investir pour se protéger contre les attaques DDoS?
Et la réponse : tout est une question de probabilité et d’impact.
Faut-il blâmer une ville ou une commune pour ne pas avoir investi massivement dans la protection contre les attaques DDoS ? Pas nécessairement.
Si une analyse de risque rigoureuse a été menée et a conclu que ce n’était pas la meilleure utilisation des fonds publics, alors la décision peut être justifiée.
Mais… a-t-elle réellement été faite ?
Car trop souvent, l’absence d’investissement n’est pas le résultat d’une analyse rationnelle, mais plutôt d’un manque de sensibilisation, de priorisation ou d’expertise. Et quand l’attaque survient, il est déjà trop tard.
Un investissement adapté commence par une évaluation claire des risques et une stratégie proportionnée aux menaces réelles.
Ignorer le problème n’est jamais une bonne option. Il s’agit là d’un rappel crucial pour toutes les organisations afin qu’elles renforcent leurs mesures de sécurité numérique !
Lisez l’article complet ici.
